topologie: branche des maths ou on construit des objets [[table_of_contents#mathematical beauty]]
on donne du sens au maths en les visualisants.
qu’est-ce que ca nous dit de notre rapport à:
-> on voit émerger des actions, manipulations, imaginations, objets émergents, instructions
Tversky -> psychologue qui bosse sur la “spraction” (action et abstraction). les actions créent des abstractions [[table_of_contents#mathematical beauty]]
diagrammatisation réutilise des facultés qui sont déja ordinaires.
cognition incarnée -> varela, 1991 [[table_of_contents#understanding code]] cognition étendue -> clark chalmers, 1998
plus récemment:
deux aspects du diagrammatisation:
un diagramme mathématique est une “crystallization” d’un geste. geste est transitoire est privé, les croquis sont idiosyncratiques, diagramme est une trace stabilisée.
sybille krämer: artefacts cognitifs, 2014, also goody (the math table can be taught to those who cannot read or write, it’s a different technology of the intellect) (MAIS dans certains cas, et dans certaines cultures uniquement)
villani (2012), le role de TeX: avec l’habitude, les mathématiciens peuvent déchiffrer les formules absconses de TeX source -. ADPATATION le mathématicien a “dans sa tête” non seulement la formule TeX, mais aussi sa transcription en maths, et meme de l’objet mathématique qui lui correspond. -> le problème, c’est quand on n’a pas cet objet mathématique, et qu’il faut le reconstruire à partir de traces
Q&A:
quid de la matérialité? la matérialité est importante, c’est surtout le feedback continu entre l’abstrait et le concret.
on loupe le passage entre chose vue et chose formalisée, puisqu’il y a beaucoup de standards