mondes axiomatiques et poétiques
notre monde actuel est-il le meilleur des mondes possibles?
l’axiomatique parce qu’un monde suppose un nombre de postulats, systématiques.
autant utopiques que dédiés de références au réel.
littérature -> anthropologie littéraire
l’effort de penser l’autre dans ses propres termes
derrida veut interroger la prétention à l’universalité -> le monde singulier (colonial)
l’intraduisibilité, qui est l’essence de l’autre.
pensée décoloniale: ontologie pluraliste
mais apparemment tout ca suppose un rapport au language, comme si il n’y avait que du language (alors que le truc, c’est la référentialité: des qu’il y a vie, monde, il y a toujours rapport à l’autre)
faire monde: commonalities, choses en commun
le micro etait pas si bon mais quote:
l’irréalité commence avec le tout. l’imaginaire n’est pas une étrange région située par-dela le monde, mais le monde comme ensemble, comme tout. c’est pourquoi il n’est pas dans le monde, car il est le monde, saisi et réalisé dans son ensemble par la négation globale de toutes les réalités particulières qui s’y trouvent, par leur mise hors de jeu, leur absence, par la réalisation de cette absence elle-même.
analyse de tlon sur borges, et comment vivre dans un monde sans substantif?